En-travers-les-neons

Aux merveilles tu traces ton dessein

Dimanche 4 octobre 2009 à 13:27




A force de peser le pour et le contre, je crois que la balance va
craquer.


Lundi 28 septembre 2009 à 13:25



C'est ma faute à Toi.

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...

Mardi 22 septembre 2009 à 21:40

C’est malsain.

Je le sais bien mais qu’importe. C’est un petit bout de ciel qui s’offre à moi de temps à autres. C’est un peu le brillant des étoiles. La lueur qui transperce les nuages. C’est m’abimer, me détruire à petit feu, à petites flammes. Fine lame. Mais c’est vivre. Vivre à en pleurer. Aimer en overdose. Se dégouter de l’amour. M’emprisonner dans la volupté d’un désir interdit. M’asphyxier d’espoir. Et mourir de désespoir. Mais qu’importe.

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Qu’importe
.


Lundi 14 septembre 2009 à 7:56

Je ne sais pas ce que c'est que cette mode, ce besoin quasi existentiel, quasi malsain aussi, d'offrir la possibilité à la Terre entière l'accès à notre vie privée, à notre intimité la plus profonde et nos sentiments les plus destructeurs. Mais dans un même temps bloquer tout accès au créateur de ces mêmes sentiments. ..
Qu'il ne sache pas. Qu'il ne sache surtout pas que j'ai mal. Jamais. Que j'ai mal à l'absurde. Que de ma gorge à mon ventre s'est formée une boule de néant. Que mes yeux sont secs de ne plus savoir couler. Oh non, qu'il ne sache pas. Surtout pas.

Et oser m'avouer que s'il est stupide, je le suis cent fois plus
.


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PS : J'ai décidé qu'il n'aurait plus sa place ici. A trop me tuer il est temps de tenter la résurrection.

Dimanche 9 août 2009 à 18:03

Il y a un an avec Elle on s’était promis que le prochain 14 juillet nous ne regarderions plus les éclats d’artifice seules, entourées de couples langoureux. Elle n’a pas été au feu cette année. Moi si. Et c’est un véritable bonheur que de voir les fusées monter et éclater dans le ciel à travers ses yeux. De se tenir la main et de s’embrasser sous les étoiles filantes colorées.

J’aime les rires que l’on a partagés tous ensemble. Le Lys d’Or de nouveau. La panne d’essence à 8kms de l’arrivée. Les vidéos, le grand méchant loup, le manque de réseau. Les rires. Encore et toujours. Les rires. Le point positif selon mon homonyme : « Maintenant la boulangerie est ouverte ». De la « drolerie » à l’état pur.

J’aime déjà les souvenirs que cet été va m’offrir.

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