En-travers-les-neons

Aux merveilles tu traces ton dessein

Dimanche 6 septembre 2009 à 20:12

http://en-travers-les-neons.cowblog.fr/images/Sanstitre2.jpgEn fouillant mon sac à la recherche de je-ne-sais-quoi, je retombe sur mon carnet de mots. Celui qui subit mes humeurs au fil des journées. Je l'ouvre et lis mes lignes filées il y a quelques semaines. Et je ris.
Je ris de lire mes "Règles à suivre en cas d'isolement au bout du monde" :

Petit 1 : Prendre avec soi des stylos, en plusieurs exemplaires, on ne sait jamais !
Petit 2 : Prendre avec soi du papier, en grande quantité, sinon on finit par écrire sur les murs.
Petit 3 : Garder de la batterie sur son I-Pod, pour écouter en boucle ses sons préférés, mais pas triste, sinon c'est la fin.
Petit 4 : Avoir une réserve de 3 ou 4 livres de minimum 300 pages, il faut ce qu'il faut !
Petit 5 : Immortaliser chaque centimètre carré des lieux, afin d'avoir un soupir de fierté en les regardant plus tard, sous réserve de survie, évidement.


Je m'en suis sortie, évidemment, et en dehors des photos, des écrits, des moments de solitude, d'ennui, j'en garde un très bon souvenir.
Et je pense que c'est pour cela que je ris à n'en plus pouvoir.
 

Mercredi 2 septembre 2009 à 19:51

Je pourrais faire une liste des sourires, des rires, des conversations, des lieux, des moments, passés ensemble. Ca me prendrait un temps fou, mais je le pourrais oui, mais, voilà, je n'en vois pas l'intérêt.
Je t'aime, c'est un fait, et c'est présent. 
Le passé c'est bien beau, surtout le notre.  Mais je vais vers l'avenir, je te dis Je T'aime aujourd'hui et compte bien te le prouver demain. Encore et encore.


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"I'll be the star in the night"



See you later

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Mercredi 12 août 2009 à 20:31

Je pars. Je reviens dans une quinzaine de jours. Mais je déménage en rentrant. Aurais-je une connexion là bas ? Pourrais-je compter sur le wi-fi de mes voisins ? I Hope !
Je vais profiter de ces jours pour bosser, bien sur, mais aussi m' oxigenner la tête, l'esprit et le coeur. Le coeur surtout. Je crois que c'est ce qu'il me faut, de l'occupation et du vide, pour faire le point. Envie d'hurler à la face du monde que j'ai mal, que j'en ai marre de croire en les autres et qu'ils me bouffe. Point. Il faudrait quand même que je le revoit, qu'on se parle. Ca me tuerait certainement un petit peu le coeur mais qu'importe, je n'aime pas ces relations qui se terminent sans rien, pas même un cri, un espoir, une larme. Je suis sèche à l'intérieur, plus la force de pleurer, plus la force d'y croire. Je crois que je m'étais assez accrochée à lui. C'est con hein ? Mais c'est moi. Moi et mes espérances, moi et mes rêves. Rêve d'amour. Rêve toujours ma belle. C'est pas pour toi tout ça. Ou alors pas dans cette vie. Pas avec eux. Je ne sais pas. J'ai trop d'amour à donner. Trop à partager. A apprendre aussi. J'en ai marre. Je suis usée. Fatiguée


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PS : Moi aussi, je n'aime que Toi, c'est décidé !

Dimanche 9 août 2009 à 18:03

Il y a un an avec Elle on s’était promis que le prochain 14 juillet nous ne regarderions plus les éclats d’artifice seules, entourées de couples langoureux. Elle n’a pas été au feu cette année. Moi si. Et c’est un véritable bonheur que de voir les fusées monter et éclater dans le ciel à travers ses yeux. De se tenir la main et de s’embrasser sous les étoiles filantes colorées.

J’aime les rires que l’on a partagés tous ensemble. Le Lys d’Or de nouveau. La panne d’essence à 8kms de l’arrivée. Les vidéos, le grand méchant loup, le manque de réseau. Les rires. Encore et toujours. Les rires. Le point positif selon mon homonyme : « Maintenant la boulangerie est ouverte ». De la « drolerie » à l’état pur.

J’aime déjà les souvenirs que cet été va m’offrir.

Samedi 1er août 2009 à 5:40



354 jours que j'attendais ce départ. 354 jours que mes sourires n'étaient pas tout à fait complets. 354 jours que j'appréhendais, que j'envisageais, que je rêvais.
 
Pour 13 jours de bonheur.
Pur.

 
 
Préparation au rythme de nos sourires, nos histoires, notre année écoulée. Nouvelles rencontres. Les fraises tagada qui me font penser à Elle, à une certaine conversation sur les quais. Avec lui à côté. Lui qui m'a chamboulée. Lui qui m'a fait sourire et craquer. Lui que j'ai enfin appris à aimer comme un ami. Et c'est tellement bon. Bon de rire, de partager, de sourire, de se battre, d'apprendre, en ami. Lui qui restera toujours en moi comme le meilleur et le pire, mais surtout le meilleur. Lui que je laisse à sa vie et qui me laisse à la mienne. Lui, mon premier amour.
Un concentré de sourires, de rires, d'hématomes, de travail, de câlins, de retrouvailles et de rencontres. Ces 13 jours.

Et dire qu'on se revoit presque tous au complet à la fin du mois : )

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